TKt 48 – 87
année de construction | 1952 |
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constructeur | Usines Stalina à Poznan (Pologne) |
Cette machine a été rachetée par le CFV3V aux chemins de fer polonais en 1994. Elle a été entièrement révisée et remise en état dans les ateliers de l’association à Treignes. Elle est propriété du CFV3V et sa mise en service a eu lieu lors du Festival Vapeur de 2009
hors service depuis 2021
ce trouve dans notre musée a treigne
SA 01
Cette machine provient de SAFEA à Houdeng-Goegnies (La Louvière). Les usines SAFEA, fermées en 1992 fabriquaient des engrais azotés et plus particulièrement de l’ammoniac.
Transférée par ses propres moyens jusque Mariembourg le 26 août 1978.
Elle a été arrêtée en fin d’année 2006. Après installation d’un nouveau foyer, elle est remise en service depuis le 11 septembre 2010.
hors service
dernière circulation le 24/09/2023
MF 73
La locomotive MF 73 provient des charbonnages de Monceau – Fontaine, à Monceau. Elle y fut en service jusqu’en 1975. De conception simple, elle est prévue pour effectuer un service de manœuvres. Achetée par le club en même temps que les machines MF 82 et MF 91, elle a été transférée jusqu’à Walcourt en décembre 1975. Ce n’est qu’en mars 1976 qu’elle fut transférée à Mariembourg. Cette locomotive inaugura officiellement la ligne Mariembourg – Treignes le 27 mars 1976 en tête d’une rame de voitures GCI.
hors service
50-3696-7
Les machines de la série 50 font partie des machines les plus construites au monde (ainsi que les BR52 qui en dérivent et la diesel américaine des types F et GP). Plus de 3000 exemplaires en furent construits dans différents pays d’Europe, jusque dans les années 1950. Cette machine tractait les trains de marchandises et à la fin de la vapeur, nous les trouvions aux côtés des BR41, BR44 et BR52.
actuellement dans notre musée a Treigne
en attente de remise en etat
K1 29123
503 exemplaires de cette voiture furent construits. Elles étaient aptes à 140 km/h ! La mise hors service de ces voitures a débuté en 1981. Plusieurs véhicules (106) ont été vendus aux chemins de fer marocains. 3 voitures ont été acquises en 1985 et font partie du patrimoine du CFV3V.
K1 22028
A restaurer. 503 exemplaires de cette voiture furent construits. Elles étaient aptes à 140 km/h ! La mise hors service de ces voitures a débuté en 1981. Plusieurs véhicules (106) ont été vendus aux chemins de fer marocains. Les 3 voitures du CFV3V ont été acquises en 1985 et font partie du patrimoine du CFV3V.
K1 22020
A restaurer. 503 exemplaires de cette voiture furent construits. Elles étaient aptes à 140 km/h ! La mise hors service de ces voitures a débuté en 1981. Plusieurs véhicules (106) ont été vendus aux chemins de fer marocains. Les 3 voitures du CFV3V ont été acquises en 1985 et font partie du patrimoine du CFV3V.
GCI 99132
Ces voitures font partie d’un important lot de véhicules construits par l’Etat Belge entre 1900 et 1921. En 1911, l’effectif de ce matériel était de 2876 voitures, tous types confondus . Le CFV3V a acquis en son temps, 10 voitures GCI (Grande Capacité et Intercirculation) de ce type. Sept de ces magnifiques voitures en bois subsistent sur le réseau, dont les deux premières acquisitions du club. Cinq de ces 7 voitures ont fait l’objet d’une restauration en profondeur en 2000 et 2001, un projet de remise en état des deux dernières est à l’étude. Dotées d’une caisse entièrement en bois, ces voitures se remarquent aussi par la disposition caractéristique de leurs trois essieux ; leur masse est d’environ 27/29 tonnes, poids variable selon le modèle et la fabrication (poids du fourgon 99132 : 17 t). Ces voitures sont équipées d’une plate-forme (hormis la 96715) et d’un frein à main (sauf 95613, 95572, 96715, 95568) La construction de voitures en bois est abandonnée en 1929, au profit des premières voitures métalliques (première mise en service 1931). Avec la mise en œuvre des voitures métalliques vient également l’application du frein continu à air comprimé ainsi que l’abandon du vitrage ordinaire au profit de vitres de sécurité. La SNCB a mis hors service définitivement de ce type de voitures en 1961.
GCI 95572
Ces voitures font partie d’un important lot de véhicules construits par l’Etat Belge entre 1900 et 1921. En 1911, l’effectif de ce matériel était de 2876 voitures, tous types confondus . Le CFV3V a acquis en son temps, 10 voitures GCI (Grande Capacité et Intercirculation) de ce type. Sept de ces magnifiques voitures en bois subsistent sur le réseau, dont les deux premières acquisitions du club. Cinq de ces 7 voitures ont fait l’objet d’une restauration en profondeur en 2000 et 2001, un projet de remise en état des deux dernières est à l’étude. Dotées d’une caisse entièrement en bois, ces voitures se remarquent aussi par la disposition caractéristique de leurs trois essieux ; leur masse est d’environ 27/29 tonnes, poids variable selon le modèle et la fabrication (poids du fourgon 99132 : 17 t). Ces voitures sont équipées d’une plate-forme (hormis la 96715) et d’un frein à main (sauf 95613, 95572, 96715, 95568) La construction de voitures en bois est abandonnée en 1929, au profit des premières voitures métalliques (première mise en service 1931). Avec la mise en œuvre des voitures métalliques vient également l’application du frein continu à air comprimé ainsi que l’abandon du vitrage ordinaire au profit de vitres de sécurité. La SNCB a mis hors service définitivement de ce type de voitures en 1961.
Y5130 « IDEFIX »
Ce locotracteur est destiné exclusivement aux manœuvres sur le site de Treignes.
Baptisé « IDEFIX » au CFV3V
GV69
Cette machine provient de Glaverbel à Houdeng Goegnies et a été transférée par ses propres moyens vers LMG (Mariembourg) le 24 mai 1980.
Elle fut en service au CFV3V jusqu’en 1994, avant d’être « mise en parc, en bon état ».
Après un passage en atelier, elle a été réactivée en mars 2010 et sert aux manoeuvres sur la cour du dépôt de Mariembourg.
Malheureusement, au mois d’avril 2013, la locomotive est victime d’un bris de vilebrequin … Elle est donc remise « Hors Service »
Fina 1
Ce locotracteur était utilisés dans les emprises de la raffinerie Fina au port d’Anvers. Cet engin est particulièrement sécurisé. En effet, travaillant dans une raffinerie de pétrole, il est exclu de provoquer des étincelles. Ainsi, les gaz d’échappement sont filtrés dans un bac à eau. L’installation électrique, l’air comprimé et le démarreur sont également pourvus d’un système de sécurité.
Attention : DEMARREUR a AIR COMPRIME (8 bars)