MF 91
La locomotive à vapeur MF 91 provient des charbonnages de Monceau Fontaine. Elle a été transférée par ses propres moyens vers Mariembourg le 27 décembre 1975 et inaugure officieusement la ligne Mariembourg – Treignes à cette même date.
ce trouve sur le rond poins qui separe la N5 de l autoroute vers la france à couvin
TKt 48 – 87
année de construction | 1952 |
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constructeur | Usines Stalina à Poznan (Pologne) |
Cette machine a été rachetée par le CFV3V aux chemins de fer polonais en 1994. Elle a été entièrement révisée et remise en état dans les ateliers de l’association à Treignes. Elle est propriété du CFV3V et sa mise en service a eu lieu lors du Festival Vapeur de 2009
hors service depuis 2021
ce trouve dans notre musée a treigne
SA 01
Cette machine provient de SAFEA à Houdeng-Goegnies (La Louvière). Les usines SAFEA, fermées en 1992 fabriquaient des engrais azotés et plus particulièrement de l’ammoniac.
Transférée par ses propres moyens jusque Mariembourg le 26 août 1978.
Elle a été arrêtée en fin d’année 2006. Après installation d’un nouveau foyer, elle est remise en service depuis le 11 septembre 2010.
hors service
dernière circulation le 24/09/2023
MF 73
La locomotive MF 73 provient des charbonnages de Monceau – Fontaine, à Monceau. Elle y fut en service jusqu’en 1975. De conception simple, elle est prévue pour effectuer un service de manœuvres. Achetée par le club en même temps que les machines MF 82 et MF 91, elle a été transférée jusqu’à Walcourt en décembre 1975. Ce n’est qu’en mars 1976 qu’elle fut transférée à Mariembourg. Cette locomotive inaugura officiellement la ligne Mariembourg – Treignes le 27 mars 1976 en tête d’une rame de voitures GCI.
hors service
DG 22
Cette machine a été en service jusque fin 1955 aux Ets. Heuze – Malevez – Simon à Auvelais.
Provient des Ets. Adhémar Demanet à Gosselies qui l’a utilisée jusqu’en 1980.
Les usines Cockerill ont entre 1871 et 1950 construit 942 locomotives de ce type.
De par la disposition particulière de la chaudière, aux dimensions très modestes, ce type de locomotive fut appelée la « bouteille ».
Leur utilisation se limitait à la manœuvre de quelques wagons dans les carrières, les chantiers ou diverses petites industries.
Elle a été transférée les 26 et 27 décembre 1980, tractée par l’autorail CFV3V 551.662.
Le 27 décembre 1980 elle a reçu le nom de « Micheline ».
Cette machine appartient à l’association.
La machine est garée froide et en bon état.
808
Cette locomotive est l’ancêtre de nos collections. Elle a circulé sur le réseau SNCV (Société Nationale des Chemins de fer Vicinaux) entre Groenendael et Overijse. Alors que la plupart des lignes SNCV étaient à écartement métrique, cette locomotive est réalisée à l’écartement « normal ». Seules deux autres lignes vicinales possédaient la même caractéristique : Dolhain – Eupen et Sprimont – Poulseur. Cet écartement, identique à celui de la SNCB permettait d’éviter des transbordements de marchandises entre les deux réseaux. Une quinzaine de machines furent réalisées pour les trois lignes citées. Afin d’éviter les longues procédures destinées à retourner les machines à leur terminus, elles furent dotées de deux cabines de conduite (d’où leur nom de « bi-cabines ». De plus, afin de ne pas effrayer les passants et les chevaux, elles furent dotées d’un carénage complet. Rappelons que ces engins circulaient dans les localités. Cette machine a remorqué des trains de voyageurs jusqu’en 1949 et des convois de marchandises jusqu’en 1960. Elle est la propriété de l’AMUTRA et est garée froide et en bon état. Elle a été transférée en transport routier le 12 septembre 1985.
Remise en service pour le « Festival de la Vapeur » en 2007
50-3696-7
Les machines de la série 50 font partie des machines les plus construites au monde (ainsi que les BR52 qui en dérivent et la diesel américaine des types F et GP). Plus de 3000 exemplaires en furent construits dans différents pays d’Europe, jusque dans les années 1950. Cette machine tractait les trains de marchandises et à la fin de la vapeur, nous les trouvions aux côtés des BR41, BR44 et BR52.
actuellement dans notre musée a Treigne
en attente de remise en etat
X941
Ex wagon-poste de la Deutsche Reichsbahn Gesellschaft avec le n° DR(Post)4927 Essen.
Après être resté en Belgique à la fin de la 2° guerre mondiale, il est devenu wagon de secours de la remise de Tamines.
Sa carrière se termina comme wagon de service à l’atelier de traction diesel de Monceau.
Type SNCB : 9491D1 – N° UIC = 30 88 949 1021-2
K1 29123
503 exemplaires de cette voiture furent construits. Elles étaient aptes à 140 km/h ! La mise hors service de ces voitures a débuté en 1981. Plusieurs véhicules (106) ont été vendus aux chemins de fer marocains. 3 voitures ont été acquises en 1985 et font partie du patrimoine du CFV3V.
K1 22028
A restaurer. 503 exemplaires de cette voiture furent construits. Elles étaient aptes à 140 km/h ! La mise hors service de ces voitures a débuté en 1981. Plusieurs véhicules (106) ont été vendus aux chemins de fer marocains. Les 3 voitures du CFV3V ont été acquises en 1985 et font partie du patrimoine du CFV3V.
K1 22020
A restaurer. 503 exemplaires de cette voiture furent construits. Elles étaient aptes à 140 km/h ! La mise hors service de ces voitures a débuté en 1981. Plusieurs véhicules (106) ont été vendus aux chemins de fer marocains. Les 3 voitures du CFV3V ont été acquises en 1985 et font partie du patrimoine du CFV3V.
I2 11907
Utilisation fixe : Cabine de signalisation. Deux voitures « buffet » du type I2 ont été achetées par le CFV3V en 1988. La 11908 a par la suite été cédée au PFT (Patrimoine Ferroviaire et Touristique). La 11907, conservée par le club fait partie d’une commande de 50 voitures passée par la SNCB aux ateliers Ragheno (Malines) en 1950. Cette voiture avait une vocation internationale. C’est à l’occasion de cette commande que la SNCB introduit le chauffage électrique et l’éclairage fluorescent sur ces véhicules. D’une masse de 32 tonnes et d’une longueur de 23.3 m, ce véhicule, transformé en 1963, est équipé pour la cuisine et la restauration. Il est apte à une vitesse de 150 km/h. Construite en 1951, la 11907 est actuellement utilisée en statique sur le site de Mariembourg. Elle a pris la relève du fourgon prussien cité par ailleurs. Elle sert de local de block.
GCI 99132
Ces voitures font partie d’un important lot de véhicules construits par l’Etat Belge entre 1900 et 1921. En 1911, l’effectif de ce matériel était de 2876 voitures, tous types confondus . Le CFV3V a acquis en son temps, 10 voitures GCI (Grande Capacité et Intercirculation) de ce type. Sept de ces magnifiques voitures en bois subsistent sur le réseau, dont les deux premières acquisitions du club. Cinq de ces 7 voitures ont fait l’objet d’une restauration en profondeur en 2000 et 2001, un projet de remise en état des deux dernières est à l’étude. Dotées d’une caisse entièrement en bois, ces voitures se remarquent aussi par la disposition caractéristique de leurs trois essieux ; leur masse est d’environ 27/29 tonnes, poids variable selon le modèle et la fabrication (poids du fourgon 99132 : 17 t). Ces voitures sont équipées d’une plate-forme (hormis la 96715) et d’un frein à main (sauf 95613, 95572, 96715, 95568) La construction de voitures en bois est abandonnée en 1929, au profit des premières voitures métalliques (première mise en service 1931). Avec la mise en œuvre des voitures métalliques vient également l’application du frein continu à air comprimé ainsi que l’abandon du vitrage ordinaire au profit de vitres de sécurité. La SNCB a mis hors service définitivement de ce type de voitures en 1961.
GCI 95572
Ces voitures font partie d’un important lot de véhicules construits par l’Etat Belge entre 1900 et 1921. En 1911, l’effectif de ce matériel était de 2876 voitures, tous types confondus . Le CFV3V a acquis en son temps, 10 voitures GCI (Grande Capacité et Intercirculation) de ce type. Sept de ces magnifiques voitures en bois subsistent sur le réseau, dont les deux premières acquisitions du club. Cinq de ces 7 voitures ont fait l’objet d’une restauration en profondeur en 2000 et 2001, un projet de remise en état des deux dernières est à l’étude. Dotées d’une caisse entièrement en bois, ces voitures se remarquent aussi par la disposition caractéristique de leurs trois essieux ; leur masse est d’environ 27/29 tonnes, poids variable selon le modèle et la fabrication (poids du fourgon 99132 : 17 t). Ces voitures sont équipées d’une plate-forme (hormis la 96715) et d’un frein à main (sauf 95613, 95572, 96715, 95568) La construction de voitures en bois est abandonnée en 1929, au profit des premières voitures métalliques (première mise en service 1931). Avec la mise en œuvre des voitures métalliques vient également l’application du frein continu à air comprimé ainsi que l’abandon du vitrage ordinaire au profit de vitres de sécurité. La SNCB a mis hors service définitivement de ce type de voitures en 1961.
551.662 « chinenbus »
Cet autorail a été mis en service me 13 août 1955 à Euskirchen (Allemagne) et à terminé sa carrière à Koln- Nippes le 16 septembre 1978. Cet autorail fait partie de la série VT95 de la Deutsche Bundesbahn, plus connue sous le nom de Schienenbus (bus sur rails). Il a marqué pendant plus de 40 ans les relations secondaires en Allemagne de l’Ouest. Plus de 3.000 exemplaires furent construits et certains circulent encore à l’heure actuelle. Il a été transféré de Koln-Nippes à Montzen le 15 septembre 1978 et est arrivé à Mariembourg par ses propres moyens le 18 septembre de cette même année. Märklin a reproduit cet autorail en modèle réduit
actuellement exposé dans notre musée a treigne
550.09
Cet autorail à deux essieux a été construit pour le réseau secondaire de Minden (Mindener Kreisbahn) en Allemagne. Il a tout d’abord été acquis par l’association néerlandaise Noord Nederlandse Museum Spoorbaan et ensuite cédé au CFV3V. Il a été transféré par ses propres moyens à Mariembourg, via Ronet le 19 novembre 1977.
BB 12120
La seconde moitié des années 50 voit s’étendre l’électrification en courant monophasé 25.000 volts, 50 Hz sur les principales artères du Nord-Est de la France. La SNCF a fait construire entre 1954 et 61, 148 locomotives du type BB. Vingt autres machines du même type ont été acquises par le CFL (Chemin de Fer Luxembourgeois). Affirmant une vocation mixte (service voyageurs ou marchandises), ces machines, très fiables, circuleront sur l’ensemble des lignes du Nord-Est, avec une incursion dans le Jura et la Savoie à partir de 1958. En 1994, après radiation d’une grande partie de la série, les BB 12000 encore en service sont basées au dépôt de Lens. Elles y termineront leur carrière en décembre 1999. Au cours de sa carrière, la BB 12120 a parcouru près de 4 millions de kilomètres. Ces machines ont reçu le surnom de « crocodile » ou de « fer à repasser » de par l’allure de leur carrosserie, de « trancheuses » ou de « machines à couper le jambon » de par la disposition des éléments du poste de conduite.
23-11-1960 : Mise en service au dépôt de Thionville
16-03-1961 : Mutation à Lens
01-11-1969 : Mutation à Aulnoye
01-06-1978 : Mutation à Lens
29-12-1993 : Radiation des écritures
Y5130 « IDEFIX »
Ce locotracteur est destiné exclusivement aux manœuvres sur le site de Treignes.
Baptisé « IDEFIX » au CFV3V
GV69
Cette machine provient de Glaverbel à Houdeng Goegnies et a été transférée par ses propres moyens vers LMG (Mariembourg) le 24 mai 1980.
Elle fut en service au CFV3V jusqu’en 1994, avant d’être « mise en parc, en bon état ».
Après un passage en atelier, elle a été réactivée en mars 2010 et sert aux manoeuvres sur la cour du dépôt de Mariembourg.
Malheureusement, au mois d’avril 2013, la locomotive est victime d’un bris de vilebrequin … Elle est donc remise « Hors Service »
FDP 1
Peut circuler sur des voies en courbe de 50 mètres de rayon.
La SNCB a possédé une locomotive de ce type, achetée d’occasion.
Elle fut en service de 1972 à 1973 à la gare de Bruxelles Tour-et-Taxis, pour la desserte des entrepôts.
Elle portait la livrée standard des engins diesel, et était numérotée 9901.
Un engin semblable existe au BVS (ligne Dendermonde – Puurs).